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Une condamnation injuste par des gendarmes ripoux

20 octobre 2013

Victime d'une mascarade de justice... et d'une non reconnaissance de présomption de légitime défense ! Dés pipés...

Pour en avoir été victime, agressé à l'intérieur de mon domicile, le 11 juillet 2011, à Messanges... Landes, à la suite d'un guet-apens organisé par mon propriétaire, parce qaue j'avais osé lui faire un procès civil pour faire respecter mes droits de locataire,

Frappé à l'aide du manche d'un balai saisi sur place,  puis un doigt de pied cassé en répliquant simplement en chaussettes, et les disques lombaires abîmés ensuite -- une IRM passée 3 mois plus tard révélera encore pourtant des traces d'inflammation alors qu'on m'accusera de simuler --, et répliqué pour m'en sortir avec un simple pistolet à billes de seulement 1 joule, qui n'est en aucun cas une arme de poing, et pas plus une arme par destination en cas de légitime défense -- auquel cas, elle retrouve sa nature initiale. Soit d'être un "objet"..., je me méfie plus que tout du régime des gardes à vue et de leur procédure actuelle...


En effet, les dés peuvent être facilement pipés face à des enquêteurs ripoux, comme ceux de la brigade de Soustons, Landes, dans mon cas précis !
Les enquêteurs n'ont plus besoin de torturer pour obtenir d'hypothétiques aveux... Ils ont juste à écrire ce qu'ils veulent...
-- L'avocate n'était là que pour faire du tricot... ou presque.
-- Elle n'aura aucun accès au dossier malgré deux demandes réitérées...et aucun droit d'intervention... Ce qui aurait pourtant permis de recentrer l'enquête vers la réalité des faits... Et non d'en tirer une version fabulée et purement imaginaire.
-- Les OPJ ont enquêté principalement à charge (et non dans les deux sens, ou si peu...). 
-- Et à défaut de trouver des preuves tangibles réelles et sérieuses -- et surtout incontestables -- autres que des faux témoignages ou des dénonciations calomnieuses, ils ne vont pas hésiter à compromettre des médecins -- qui remplissent alors des certificats médicaux erronés... arrangés, ou écrits sous une dictée suggestive...
Le médecin qui examinera la personne en GAV doit en principe procéder à toute constatation utile -- notamment relever les blessures, même non visibles, demander le passage d'une radio... -- etc. ...
Ce qui ne sera pas dans mon cas.. 
Ce praticien est poursuivi depuis devant la chambre disciplinaire d'Aquitaine.... Et d'autant que cette pratique qui accentue une enquête inéquitable était courante au sein de cette brigade...
Quant à l'autre praticien, qui a soigné mon agresseur, après avoir reconnu ses erreurs de description de faits auxquels elle n'a pas assisté, et aussi à avoir écrit ce certificat sous la dictée suggestive afin de laisser croire que cet homme ne pouvait pas lever son bras droit -- ce qui est faux !.... cette femme ne doit qu'au fait d'avoir été jusque là mon ùédecin habituel pour ne pas être poursuivi...
-- Ils ajouteront au dossier des éléments purement suggestifs n'ayant rien à voir avec les faits. Soit une très vieille bombe lacrymogène, un lance-pierre de pêche à l'imprécision totale (et oui, ne souriez pas), et surtout une ancienne carabine 22 LR à un coup, entreposée poussiéreuse sur le dessus de mon armoire, déculassée, et dont les vraies balles sont HS du fait que le plomb a gonflé en 30 ans... et surtout remise spontanément a leur demande, alors que dans leur gloriole, ils affirmeront l'avoir découverte à la suite d'une perquisition... Incroyable mais vrai !
Ma seule faute à ce propos.. ne pas avoir de licence de tir à jour ! Et on est dans un pays de chasseurs... 30 000 fusils au moins qui se balladent dans la nature ! Et bien plus dangereux que cette carabine...
-- Il devrait y avoir forcément confrontation -- refusée dans mon cas par mon agresseur qui s'est transformé pour l'occasion en pseudo-victime...
-- pas plus qu'avec les faux témoins, complices en fait de mon agresseur...
-- Tous les éléments révélant des descriptions inexactes ou mensongères devraient être systématiquement ajoutés au dossier... Ce qui ne sera pas !
-- Egalement pour la reconstitution -- ce qui aurait permis de détracter les faux témoins --... Ce qui ne sera pas non plus.
-- Les gendarmes n'avaient aucun droit de ne pas enregistrer ma plainte... ni de me masquer jusqu'au dernier moment celle de mon agresseur...
-- Les écoutes téléphoniques auraient du être vérifiées (c'est moi qui, sûr de mon bon droit, ai appelé les gendarmes en premier...
-- lls n'ont aucun droit de refuser de relever les empreintes de la personne qui m'a agressé... Autant sur les montants de porte qu'il a forcée sur sur lemache du balai qu'ils ont quand même saisi
-- Et pourtant, ils vont prétexter que cela coûte extrêmement cher... et qu'à chaque fois, ils se font engueuler... pour le refuser...
-- De même qu'ils auraient dû relever les billes tirées à l'endroit où elles étaient réellement -- soit à l'intérieur de chez moi et non en suivant seulement les indications mensongères de mon agresseur... qui prétendait que tout s'était passé faussement sur ma terrasse... Ils n'en trouveront donc aucune...
-- Ils n'avaient aucun droit non plus de retirer une photo du dossier d'enquête sous prétexte que sinon, la déclaration de la pseudo-victime n'allait pas pouvoir corroborer avec le nombre de billes plastique tirées...
-- Enfin, du fait du désistement de l'avocate, à un moment clé de la procédure, pour raisons familiales "graves", soit elle aurait due être remplacée dans l'instant avec un autre avocat, soit la GAV aurait du être annulée...
-- Et enfin, à défaut de preuves tangibles solides à m'opposer, le vice-procureur n'avait aucun droit de demander ma mise en détention provisoire, le temps de réunir une cour correctionnelle.
-- Le juge des libertés et des détentions n'en avait pas plus de confirmer cette demande en violant les Droits de l'Homme... Dans leur jargon, ils appellent ça, attendrir la viande !
-- Ma parole aurait du être écoutée... Ce qui ne sera jamais...
-- Seulement 15 % de ce que je leur dirai sera retenu. Ils ont tout tapé sur un brouillon, à mon insu... Et on me reprochera même lors du jugement, de trop donner de détails... et d'voir réponse à tout !
-- D'où 4 jours à attendre ce procès sans savoir ce que mon dossier contient d'insanités... avec juste 2 feuilles de papier, deux timbres, et un stylo qui ne fonctionnait pas !
-- Le parquet n'avait aucun droit non plus de délivrer aux journalistes locaux une version imaginaire des faits afin de s'octroyer par ce coup bas la règle de l'avantage...
Enfin, la présomption de légitime défense, de stricte nécessité et de proportionnalité aurait due être respectée (un sujet plus que d'actualité)... Ce qui ne sera jamais. Les gendarmes allant jusqu'à prétexter que cette loi leur est réservée... Et mon avocat qu'elle n'existe pas !
Quant à l'article 441 (et suivants) du Code Pénal, que je me suis permis de leur citer, à propos du FAUX sous toutes ses formes, ils m'ont m^me avoué, en me le relisant, ne pas le connaitre...
"-- Bien révisé, qu'il m'a dit, l'adjudant-chef..." et il a ajouté : "-- Je ne le connaissais pas celui-là, en refermant son grand livre en couleur avec des illustration de maternelle !"...
Un article de loi qu'ils vont violer délibérément, par habitude, avec un fort sentiment d'impunité, lors que le faux et l'usage de faux en écritures publiques de la part des personnes dépositaires d'une autorité publique et agissant dans le cadre de leur fonction risque de leur valoir prochainement jusqu'à 15 ans de prison, et un passage devant une cour d'assises... Car c'est d'un crime qu'il s'agit...
D'où une lourde et injuste condamnation, quelques jours plus tard, à la suite d'une mascarade de procédure, d"un procès de faux semblants, et où je vais être conduit comme un agneau à l'abattoir . Et où la vérité sera sacrifiée volontairement par un parquet délirant sur l'autel de la célérité !
Et un juge qui conclura verbalement, étonné par la précision de mes impacts... Et sinon, vous êtes un tireur exceptionnel et d'autant plus dangereux !
Du parfait 7ème art... avec rideaux tirés, ambiance tamisée... journalistes en fond de salle, Mais surtout aucune vérité !
Quand le sage montre le ciel du doigt, l'imbécile regarde le doigt... Et ils pensent encore que tout le monde les regarde bêtement...
Quant à la chaîne judiciaire qui suivra, aucun maillon n'osera détracter ses collègues.
On ne revient pas sur une affaire jugée, me dira t-on !
Des menaces aussi si j'osais porter plainte sans preuves...
Et mieux vaut un innocent en prison qu'un magistrat complaisant démis pour faute lourde !
Et oui, on est pourtant en France, et au XXIème siècle !
Alors quand je dis que je me méfie des rapports des gendarmes; au moins moi, je sais de quoi je parle !
A suivre...
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